
Les marchés boursiers mondiaux ont vigoureusement rebondi au deuxième trimestre de 2025, revenant en force après avoir été en proie à la volatilité occasionnée par l’annonce des droits de douane américains. La suspension temporaire des droits de douane et la résilience des bénéfices des sociétés ont contribué à redonner confiance aux investisseuses et investisseurs. Les actions américaines ont mené le bal, à commencer par les titres de croissance et du secteur de la technologie de l’information. Les actions canadiennes ont aussi fait belle figure, grâce aux gains enregistrés par les secteurs des matériaux et de la finance. Les actions de la région EAEO ont inscrit de solides rendements, profitant de l’affaiblissement du dollar américain et du recul de l’inflation. Les prix de l’or ont grimpé en flèche pour atteindre de nouveaux records, alors que ceux du pétrole ont diminué en raison de la faiblesse de la demande. La courbe des taux s’est accentuée sur les marchés obligataires, et les obligations à rendement élevé ont surpassé leurs homologues de première qualité. La Banque centrale européenne et la Banque d’Angleterre ont réduit leurs taux, tandis que la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine les ont maintenus.
Le Portefeuille de croissance IG – Équilibré mondial a généré un rendement positif ce trimestre. C’est la composante en actions qui a contribué le plus au rendement du portefeuille, suivie de celle en titres à revenu fixe.
Le Mandat d’actions canadiennes Mack, le Fonds de croissance É.-U. Putnam – IG Mandat privé et le Mandat élargi d’actions Mackenzie sont ceux qui ont le plus contribué au rendement. Le Mandat d’actions canadiennes Mack a dégagé un rendement positif à cause principalement du secteur de la finance, mais a légèrement été devancé par son indice de référence en raison de la surpondération du secteur de l’énergie et de la sélection des titres dans le secteur de l’industrie. Le facteur qui a contribué le plus au rendement est la sélection des titres dans le secteur des matériaux. Le Fonds de croissance É.-U. Putnam - IG Mandat privé a généré des rendements solides, soutenus par les actions de la technologie de l’information. La surpondération de la finance et la sélection des titres dans ce même secteur ont pesé sur le rendement relatif. La sous-pondération de la consommation de base et la sélection judicieuse des titres dans les services de communication et la consommation discrétionnaire ont contribué aux rendements. Le Mandat élargi d’actions Mackenzie, offrant une exposition multistratégies aux actions mondiales, a affiché une forte surperformance par rapport à son indice de référence et a contribué aux rendements du portefeuille. La sélection des titres au Royaume-Uni et la surpondération de la Chine ont été les facteurs les plus favorables. La sélection des titres aux États-Unis a eu un effet négatif.
Le Fonds en gestion commune d’obligations canadiennes Mackenzie – IG et le Fonds de perception de primes de risque diversifiées Mackenzie ont le plus nui au rendement. Même s’il a mieux fait que l’indice de référence, le Fonds en gestion commune d’obligations canadiennes Mackenzie – IG a pesé sur les rendements du portefeuille en raison de la faiblesse des obligations gouvernementales. La gestion de la duration des obligations gouvernementales a le plus contribué au rendement relatif, alors que la sélection des obligations de sociétés y a plutôt nui. Le Fonds de perception de primes de risque diversifiées Mackenzie, une stratégie de placement non traditionnelle combinant une exposition aux actions et de multiples stratégies alternatives de façon efficace sur le plan des capitaux, a nui au rendement en raison de la sous-performance des stratégies alternatives.