Portefeuille à faible volatilité IG – Équilibré (série F)

Commentaires sur les portefeuilles
T3 2025

À retenir

① Le portefeuille a progressé au cours du troisième trimestre de 2025, principalement grâce à la vigueur des actions et des titres à revenu fixe.

② Les fonds d’actions à faible volatilité ont profité de l’appréciation du dollar américain.

③ Les fonds d’obligations canadiennes ont bonifié le rendement, et les écarts de crédit sont demeurés serrés.

Rendement du portefeuille : T3 2025

Rendement total1 MOIS3 MOISDDA1 AN3 ANS5 ANS10 ANSDepuis la création (13 juill. 2015)

Portefeuille à faible volatilité IG – Équilibré (série F)

3,43

6,36

11,23

14,53

15,55

9,68

7,91

7,44

Quartile 

2

3

2

2

2

2

2

 

Aperçu du portefeuille

Les marchés des actions et du crédit ont bien fait au troisième trimestre, ce qui a favorisé le rendement du portefeuille. Les actions nord-américaines ont avancé, poussées par les secteurs de la technologie de l’information et des matériaux, alors que les perspectives d’assouplissement des banques centrales ont renforcé la confiance des investisseurs. Les marchés obligataires, en particulier aux États-Unis, ont produit d’excellents rendements, alors que les écarts de crédit sont demeurés étroits en raison de la stabilité des fondamentaux des sociétés. La surpondération des actions a eu un effet positif sur le rendement, car les actions mondiales ont surpassé les titres à revenu fixe. Profitant de l’écart des taux d’intérêt entre les États-Unis et le Canada, la pondération des obligations canadiennes a continué d’être rehaussée graduellement, alors que la surpondération des titres à revenu fixe américains a été réduite. La position des titres à revenu fixe est par ailleurs demeurée neutre. Les titres à revenu fixe sont sous-pondérés, tandis que les placements en dollars américains sont surpondérés, ce qui a avantagé le rendement du portefeuille au troisième trimestre.

Le Portefeuille à faible volatilité IG – Équilibré a généré un rendement positif ce trimestre, grâce aux solides rendements des actions et des titres à revenu fixe. Tous les fonds sous-jacents ont contribué au rendement, à l’exception du Fonds de biens immobiliers IG Mackenzie. 

Du côté des actions, le Fonds d’actions Mackenzie – IG, le Fonds d’actions canadiennes à faible volatilité Mackenzie – IG Mandat privé et le Fonds de dividendes canadiens Mackenzie ont été les plus avantageux. Le Fonds d’actions Mackenzie – IG arrive en tête de liste, grâce à la surpondération des secteurs de l’industrie et de la consommation de base, et à la sélection de titres dans les secteurs de la finance et des matériaux. Il a toutefois inscrit un rendement légèrement inférieur à celui de son indice de référence en raison de la sous-pondération des secteurs de la technologie de l’information et des matériaux. Le Fonds d’actions canadiennes à faible volatilité Mackenzie – IG Mandat privé a aussi eu un effet positif sur le rendement, en raison des gains enregistrés dans le secteur des matériaux et de l’accent mis sur les entreprises stables qui versent des dividendes et qui ont généré des rendements constants pendant la hausse du marché. Le Fonds de dividendes canadiens Mackenzie a rehaussé le rendement, profitant de la vigueur des sociétés des secteurs de l’industrie et de la technologie de l’information. 

Du côté des titres à revenu fixe, ce sont le Fonds en gestion commune d’obligations canadiennes Mackenzie – IG et le Fonds d’obligations de sociétés canadiennes Mackenzie – IG Mandat privé qui ont le plus contribué au rendement. Le Fonds en gestion commune d’obligations canadiennes Mackenzie – IG a tiré parti de la bonne sélection d’obligations fédérales et de la surpondération des obligations fédérales et de sociétés, alors que le Fonds d’obligations de sociétés canadiennes Mackenzie – IG Mandat privé a été avantagé par l’excellente sélection d’obligations de sociétés des secteurs de l’énergie et des services de communication.

Le Fonds de biens immobiliers IG Mackenzie est le seul fonds qui a nui au rendement. Le Fonds a tiré de l’arrière principalement en raison de la baisse de valeur d’immeubles de bureaux et de la conversion d’un centre commercial en terrain à développer, et ce, malgré la stabilité des revenus et des taux d’occupation. 

Revue des marchés : Des signes d’optimisme émergent malgré le bruit qui découle du « Jour de la libération »

Toutes les catégories d’actifs ont enregistré des gains au troisième trimestre, la performance du marché l’emportant nettement sur la prudence ambiante. Les investisseurs ont fait fi des manchettes sur les politiques commerciales qui ont continué de se succéder, car ils ne considèrent plus les droits de douane de l’administration américaine comme étant un risque fondamental, mais plutôt comme un bruit de fond. La performance positive est principalement attribuable à l’évolution subtile des attentes concernant les baisses de taux et à la résilience des bénéfices des sociétés.

Après avoir envoyé des signaux qui laissaient présager des baisses de taux imminentes, la Réserve fédérale américaine les a réduits d’un quart de point de pourcentage en septembre. Les taux des obligations gouvernementales ont diminué vers la fin du trimestre, ce qui a eu pour effet de soutenir les cours obligataires, tandis que les obligations de sociétés ont surpassé les obligations gouvernementales. 

Revue des marchés :  Des signes d’optimisme émergent malgré le bruit qui découle du « Jour de la libération »

Perspectives : Saisir les occasions tout en faisant preuve de prudence

Les Portefeuilles à faible volatilité IG ont bien fait par rapport à nos homologues au troisième trimestre. Malgré le vent d’incertitude qui a soufflé sur les marchés mondiaux cette année, nous avons continué de miser sur les fondamentaux. Nous avons maintenu notre préférence pour les actions plutôt que pour les titres à revenu fixe, et nous avons été récompensés, car les actions canadiennes et américaines ont surpassé les obligations.

Même si nous sommes en pleine paralysie budgétaire aux États-Unis, une telle interruption des dépenses publiques n’a généralement aucun impact important sur le produit intérieur brut ou les bénéfices des entreprises du pays. Nous continuons de surpondérer les actions, car les fondamentaux, surtout aux États-Unis, et les facteurs saisonniers leur sont toujours favorables.

Si vous avez des questions sur votre stratégie de placement,
parlez à votre conseiller ou conseillère IG.