
Le portefeuille a progressé durant le trimestre.
La composante en actions, qui correspond à la pondération de 56 % du Fonds de revenu d’actions mondiales Mackenzie au sein du portefeuille, est celle qui a le plus bonifié le rendement. Le Fonds a inscrit un rendement légèrement inférieur à celui de son indice de référence. La performance a été alimentée par les actions américaines, principalement par la pondération de 40 % de l’indice S&P 500 dans le Fonds. Les titres technologiques axés sur la croissance et les institutions financières ont contribué à la forte croissance du rendement. La sélection des titres dans les secteurs de la technologie de l’information et de l’industrie a entraîné sa sous-performance relative. La préférence pour les actions à dividendes a également eu un effet positif sur le rendement du Fonds. Celui-ci a toutefois accusé du retard sur l’ensemble du marché, dont la position est plus risquée en raison de la part plus importante qu’occupent les actions à volatilité plus élevée.
Le Fonds de revenu d’actions mondiales Mackenzie utilise aussi une stratégie d’options d’achat d’actions qui vise à préserver le capital en période de forte tension sur les marchés boursiers. Sans surprise, la stratégie d’options a miné le rendement, puisque les marchés boursiers se sont redressés. On s’attend à un résultat inverse en cas de baisse rapide des marchés boursiers.
Le Fonds de revenu fixe sans contraintes Mackenzie, qui représente 19 % du portefeuille, compte aussi parmi les placements qui ont contribué au rendement. La sous-pondération des obligations gouvernementales et la surpondération des obligations de société par rapport à l’indice de référence, de même que le choix des actions dans le secteur de l’industrie et celui des obligations de sociétés dans le secteur de la finance ont ajouté de la valeur, tout comme la couverture du risque de change.
Le Fonds canadien d’obligations Mackenzie, qui compte pour 14 % du portefeuille, est la composante qui a le plus nui au rendement. Il a enregistré un rendement légèrement négatif, mais a surpassé son indice de référence. La surpondération des obligations de sociétés et la sélection des obligations gouvernementales ont le plus contribué au rendement relatif.
Le Fonds d’obligations souveraines Mackenzie, qui représente 8 % du portefeuille, compte parmi les positions qui ont miné le rendement. Le Fonds est composé d’obligations gouvernementales à 10 ans de partout dans le monde et a pâti de la hausse des taux, qui a été souvent plus forte dans la portion à long terme de la courbe.